Alors que des voitures de police banalisées contrôlent les excès de vitesse sur les routes françaises, un site vise à répertorier toutes les « voitures-radar » banalisées actuellement utilisées en France.
Le site, radar-prive.fr, répertorie les voitures utilisées dans chaque département, en fournissant une photo de chaque voiture et en montrant leurs plaques d’immatriculation.
Les automobilistes qui pensent avoir été photographiés par une voiture de police banalisée (voiture radar) peuvent alors vérifier en ligne si le véhicule qu’ils ont vu correspond à la description de l’une des voitures figurant sur la liste.
À l’avenir, les propriétaires du site prévoient également d’ajouter des cartes indiquant les itinéraires les plus courants parcourus par les voitures radar de la police dans chaque département.
Sommaire
Comment repérer une voiture-radar banalisée en conduisant ?
Bien qu’elles soient banalisées, certains détails permettent de repérer une voiture-radar banalisée en conduisant.
Voici quelques éléments auxquels il faut prêter attention :
- Un rectangle noir sous la plaque d’immatriculation sur le pare-chocs avant. Il s’agit d’un lecteur de plaques d’immatriculation à infrarouge.
- Un boîtier noir sur le tableau de bord. Il s’agit d’une caméra destinée à repérer les véhicules en excès de vitesse.
- Des caméras visibles au bas du pare-brise et du cadre de la lunette arrière. Elles permettent de lire les limitations de vitesse.
- Les conducteurs peuvent porter des uniformes de police. Toutefois, les forces de police recrutent de plus en plus souvent des chauffeurs civils afin de libérer du temps pour les policiers et d’augmenter le nombre de patrouilles qu’ils sont en mesure d’effectuer.
- Les modèles suivants sont souvent utilisés : Renault Mégane, Dacia Sandero, Citroën Berlingo, Peugeot 208, 308 ou 508, Ford Focus, Seat Leon, VW Passat et Golf 7.
Fonctionnement des voitures radars banalisées
Les voitures-radars banalisées utilisent des flashs infrarouges pour photographier les véhicules en excès de vitesse, ce qui signifie que le flash n’est pas visible pour les conducteurs photographiés.
🚗 Aspect | 📜 Description |
---|---|
⚙️ Fonctionnement | Les voitures-radars banalisées utilisent des flashs infrarouges invisibles pour détecter les excès de vitesse sans alerter les conducteurs. |
📸 Critères de déclenchement | < 100 km/h : déclenche à +10 km/h de la limite. > 100 km/h : déclenche à +10 % de la limite. Radars stationnaires : seuils de +5 km/h ou +5 %. |
🔒 Traitement des données | Les données sont cryptées et envoyées au CACIR, où les agents analysent et envoient les contraventions aux conducteurs concernés. |
💼 Conséquences pour les conducteurs | Amende et retrait de points en fonction de l’excès de vitesse constaté. |
🔍 Identification sur route | Repérables par un rectangle noir (lecteur infrarouge) sous la plaque, une caméra sur le tableau de bord, et souvent des modèles comme Renault Mégane ou Peugeot 308. |
🗺️ Ressources en ligne | Radar-prive.fr liste les voitures-radar par département avec photos et plaques d’immatriculation. Projets de cartes d’itinéraires fréquents à venir. |
Elles ciblent les conducteurs roulant à des vitesses « excessives ». Pour les vitesses :
- Inférieures à 100 km/h, elles photographient les voitures qui dépassent de 10 km la limite de vitesse recommandée
- Supérieures à 100 km/h, elles photographient les voitures roulant 10 % plus vite que la limite de vitesse recommandée.
En revanche, les radars stationnaires qui sont marqués sur le bord des routes détectent les voitures :
- Roulant à plus de 5 km/h lorsqu’elles roulent à moins de 100 km/h.
- Roulant à plus de 5 % au-dessus de la limite de vitesse lorsqu’elles roulent à plus de 100 km/h.
Les policiers conduisant des voitures-radars banalisées ne traitent pas directement les photos collectées par les caméras.
Au lieu de cela, les données cryptées sont envoyées des caméras à un bureau central, le Centre Automatisé de Constatation des Infractions Routières (CACIR). Les agents de police travaillant au CACIR analysent les données envoyées et envoient, si nécessaire, des avis de contravention à l’adresse personnelle des conducteurs.
Le conducteur qui reçoit un avis de contravention doit payer une amende en fonction de la vitesse autorisée et de la vitesse à laquelle il roulait lorsqu’il a été photographié. Il peut également faire l’objet d’un retrait de points sur son permis de conduire. Il est possible de contester une amende (PV) de radar.
Connaitre les voitures radars
Alors que des voitures de police banalisées contrôlent les excès de vitesse sur les routes françaises, un site vise à répertorier toutes les « voitures-radar » banalisées actuellement utilisées en France.
Le site, radar-prive.fr, répertorie les voitures utilisées dans chaque département, en fournissant une photo de chaque voiture et en montrant leurs plaques d’immatriculation.
Les automobilistes qui pensent avoir été photographiés par une voiture de police banalisée (voiture radar) peuvent alors vérifier en ligne si le véhicule qu’ils ont vu correspond à la description de l’une des voitures figurant sur la liste.
À l’avenir, les propriétaires du site prévoient également d’ajouter des cartes indiquant les itinéraires les plus courants parcourus par les voitures radar de la police dans chaque département.
Comment repérer une voiture-radar banalisée en conduisant ?
Bien qu’elles soient banalisées, certains détails permettent de repérer une voiture-radar banalisée en conduisant.
Voici quelques éléments auxquels il faut prêter attention :
- Un rectangle noir sous la plaque d’immatriculation sur le pare-chocs avant. Il s’agit d’un lecteur de plaques d’immatriculation à infrarouge.
- Un boîtier noir sur le tableau de bord. Il s’agit d’une caméra destinée à repérer les véhicules en excès de vitesse.
- Des caméras visibles au bas du pare-brise et du cadre de la lunette arrière. Elles permettent de lire les limitations de vitesse.
- Les conducteurs peuvent porter des uniformes de police. Toutefois, les forces de police recrutent de plus en plus souvent des chauffeurs civils afin de libérer du temps pour les policiers et d’augmenter le nombre de patrouilles qu’ils sont en mesure d’effectuer.
- Les modèles suivants sont souvent utilisés : Renault Mégane, Dacia Sandero, Citroën Berlingo, Peugeot 208, 308 ou 508, Ford Focus, Seat Leon, VW Passat et Golf 7.
Fonctionnement des voitures radars banalisées
Les voitures-radars banalisées utilisent des flashs infrarouges pour photographier les véhicules en excès de vitesse, ce qui signifie que le flash n’est pas visible pour les conducteurs photographiés.
Elles ciblent les conducteurs roulant à des vitesses « excessives ». Pour les vitesses :
- Inférieures à 100 km/h, elles photographient les voitures qui dépassent de 10 km la limite de vitesse recommandée
- Supérieures à 100 km/h, elles photographient les voitures roulant 10 % plus vite que la limite de vitesse recommandée.
En revanche, les radars stationnaires qui sont marqués sur le bord des routes détectent les voitures :
- Roulant à plus de 5 km/h lorsqu’elles roulent à moins de 100 km/h.
- Roulant à plus de 5 % au-dessus de la limite de vitesse lorsqu’elles roulent à plus de 100 km/h.
Les policiers conduisant des voitures-radars banalisées ne traitent pas directement les photos collectées par les caméras.
Au lieu de cela, les données cryptées sont envoyées des caméras à un bureau central, le Centre Automatisé de Constatation des Infractions Routières (CACIR). Les agents de police travaillant au CACIR analysent les données envoyées et envoient, si nécessaire, des avis de contravention à l’adresse personnelle des conducteurs.
Le conducteur qui reçoit un avis de contravention doit payer une amende en fonction de la vitesse autorisée et de la vitesse à laquelle il roulait lorsqu’il a été photographié. Il peut également faire l’objet d’un retrait de points sur son permis de conduire.